Table ronde : s’impliquer démocratiquement dans la crise de l’eau.

Le 26/01/2024 Codyter a animé une table ronde sur l’eau riche d’informations précieuses sur l’enjeu vital de l’eau.

Chez Codyter nous nous sommes proposés d’organiser cette table ronde sur l’eau car ça nous intéressait de savoir quelle est la situation sur l’eau en général et dans la Drôme en particulier et quelles actions ces spécialistes de l’eau pouvaient nous recommander. Difficile de résumer 2 heures d’intenses discussions avec le public venu nombreux dans la salle polyvalente en début d’après-midi du 2ème jour des Rencontres de Die.

Nous les synthétisons ici avec quelques propos attribués personnellement aux participants dans un 1er temps surtout sur le bilan et ensuite des sujets abordés avec une discussion ouverte sur les solutions (avec le public). Un immense merci aux participants et aux Rencontres de Die.

Anne Le Strat (conférencière, présidente Eaux de Paris 2001-2014, …) : Une eau vitale et en crise !

L’ONU parle de l’eau comme l’enjeu le plus crucial des prochaines années. C’est le 1er élément vital qui conditionne également nos activités. Exemples : 1 jean nécessite 10 000 l pour sa fabrication ; 1 ordinateur 100 000 l !

Difficile de modéliser l’évolution des précipitations (moins de pluies chez nous) mais nous avons profondément bouleversé les cycles de l’eau (la 1/2 des cours d’eau en France ont été dérivés par des barrages ou autres) et nos demandes d’eau continuent d’être en croissance (même après la sécheresse de 2022), baignés que nous sommes dans une illusion d’abondance.

Bilan quantitatif inquiétant :

En France on parle de 32 milliards de m3 prélevés dont la 1/2 pour le refroidissement des centrales (Emmanuel Macron est allé demandé à la Suisse en octobre 2023  d’augmenter le débit du Rhône) et 4 milliards consommés dont 58% en moyenne par l’agriculture.

=> Evidemment on a de plus en plus de conflits d’usage et la question de la répartition est épineuse (mégabassines ou gigafactory à Dunkerque par exemple). Sans pointer seulement les agriculteurs, le CNRS a confirmé dernièrement que la grande majorité des irriguants sous-évaluent leurs prélèvements.

Bilan qualitatif également inquiétant :

Dégradation forte de la qualité de l’eau dans les cours d’eau et les nappes avec notamment la présence d’PFAS (per et polyfluoroalkylées) polluants dits « éternels » qu’on retrouve dans les cosmétiques et textiles.

Depuis les années 80, 1/4 des captages ont été fermés pour dégradation de la qualité.

    Marie-Pierre Médouga (consultante sur l’eau) : besoin d’agir pour protéger nos rivières !

    En France on compte plus de 650 000 km de cours d’eau, 156 fleuves et 700 rivières dont seulement 7% sont en « excellent état ». La moitié peuvent être considérées comme des rivières gérées par les propriétaires privés (propriétaires des berges jusqu’à la moitié de la rivière). Ceux-ci doivent faire en sorte que la rivière reste dans ses limites et voir avec les techniciens de rivière pour limiter les pressions sur l’eau et garantir sa fonction écologique. Les citoyens ont un grand rôle à jouer. C’est aussi par la démocratie participative qu’ils peuvent agir. Il est encore temps. Ils peuvent intervenir dans le cadre des actions associatives pour prendre des mesures, faire des actions de nettoyage, de repérage, adhérer à des associations de protection ou s’associer à des programmes d’actions. L’éventail est large.

    De nombreuses lois européennes et françaises sur l’eau concernent la lutte contre la pollution ou la réparation de la continuité écologique mais pas de loi ou d’aide pour GARDER une rivière en bon été. Associations, citoyens peuvent faire des choses !

    De nombreuses informations données par Marie-Pierre sur ce pdf complet.

    Thibault Datry (éco-hydrologue INRAE et co-directeur programme scientifique « One Water / Eau, bien commun ») : penser aux rivières pérennes ET aux rivières qui s’assèchent.

    Il y a plus de rivières qui s’assèchent que de rivières pérennes en France comme dans le monde. C’est naturel mais on assiste à un changement de paradigme face des prélèvements trop importants : 7 des plus grands fleuves dans le monde se sont asséchés par l’action de l’homme avec des conséquences écologiques énormes (exemple en Australie : disparition de poissons de plus de 100 ans). 

    On ne voit que le « manque d’eau » en surface et ces rivières ont une mauvaise image au point qu’on les ignore dans les cartes de gestion de l’eau en France depuis les années 2015. Pourtant les pluies ramènent dans les cours d’eau toutes les pollutions qui ont pu y être accumulées ; l’eau circule aussi sous la rivière et les espèces présentes font preuves d’une sur-adaptation très intéressante (frontière milieux aquatiques et terrestres).
    Thibault Datry et son groupe de travail se sont penchés sur plus de 100 ans de données sur l’eau, l’écoulement, les effets sur la biodiversité et les services que rend tout cet écosystème. Ne pas prendre en compte les tronçons non pérennes peut mettre en péril l’ensemble des réseaux hydrographiques !

    La volonté de définir ce qu’est « un cours d’eau » par des services d’Etat déconnectés de la réalité (et entre eux) a amené à des aberrations que ces scientifiques essayent de contrer. Exemples : Le critère de l’intermittence de certains courts d’eau peut amener la déclassification en tant que « cours d ‘eau » d’une portion de 2 km seulement ou, dans la Drôme, d’une masse d’eau référencée pourtant au niveau européen en très bon état (rectification finalement par l’Agence de l’eau ; ouf !) !

    Frédéric Tronc, VP SMRD (Syndicat Mixte Rivière Drôme) : Explication du rôle du SMRD dans la gestion complexe de l’eau.

    On a des directives-cadres européennes sur l’eau qui sont transcrites dans le cadre national. La loi sur l’eau (maintenant loi sur l’eau et les milieux aquatiques) encadre l’eau en France qui est inscrite comme « un bien commun » dans le code de l’environnement. Y sont inscrits des SDAGE (schéma directeur d’aménagement de l’eau) portés par les agences de l’Eau dans les grands bassins hydrographiques qui sont déclinés au sein des bassins versants avec des SAGE (schéma d’aménagement et de gestion des eaux) ou des contrats de rivière qui fixent des règles opposables à la vie du territoire (en matière d’urbanisme, agriculture, .)…

    Le 1er SDAGE de France a été fait sur la Drôme. Le SMRD (Syndicat mixte rivière Drôme) anime ce SDAGE. Vous trouverez tous les détails de cet organisme ici.

    Rappelons que le SMRD regroupe 3 intercommunalités : CCD (Communauté de communes de Die), 3CPS (Communauté de communes du Crestois et du pays de Saillans)  et CCVD (Communauté de communes du Val de Drôme) ainsi que le Département de la Drôme ; soit un peu plus de 80 communes, 50 000 habitants, sur 500 km de cours d‘eau et 1760 km².

    La CLE (commission locale de l’eau), dont la structuration et l’organisation sont définies dans le code de l’environnement, est une sorte de Parlement local de l’eau avec 3 collèges (Elus, Etat et citoyens). Elle se réunit 2 fois par an et son bureau se réunit très régulièrement.

    On peut reprocher à cet organisme son manque de communication mais la gouvernance de ce sujet sensible est complexe !

    David Arnaud, directeur SMRD (Syndicat Mixte Rivière Drôme) : Crise de l’eau dans la Drôme depuis les années 80

    C’est au milieu de années 80 qu’on a pu faire l’observation d’une baisse du débit à Saillans (station qui fait des mesures de débit depuis plus de 100 ans) et qu’on a vécu une crise armée suite à des dégradations de nuit sur des installations de pompage d’agriculteurs.

    On essaye depuis 40 ans d’éviter de nouvelles crises de l’eau mais on a entretenu le déséquilibre entre ressources disponibles et usages ; on a développé des réseaux d’irrigation alors que les ressources n’étaient pas au rendez-vous. Les quantités présentes continuent de diminuer fortement mais la problématique est un temps long entre l’interprétation des mesures et le moment où on les met en discussions !

    On a des réponses à court-terme (programme ECODROME) pour des économies d’eau (1 syndicat dans la Drôme parle de -20% d’eau consommée par les habitants en 2023) mais il faut aussi des actions à long terme pour des changements de comportement plus profonds.

    Des efforts de qualité mis en péril par les changements climatiques

    Le SMRD travaille sur le bon fonctionnement de la rivière pour assurer qu’elle puisse être « un milieu naturel » en bonne santé et le support de nombreuses activités fortes pour le territoire (tourisme de baignade et kayak, …) en prenant en compte les potentielles sécheresses et inondations (plusieurs dizaines de km de digues à entretenir). 

    En plus des mesures quantitatives et qualitatives tout au long de la rivière et d’assurer la gestion du bon fonctionnement de la rivière il s’agit donc également pour le SMRD de mobiliser les habitants (en faire plus pour la communication) pour que la rivière soit au coeur du projet de territoire.

    On a fait d’énormes efforts pour assainir la rivière : vraie qualité de baignade dans la Drôme ces dernières années. Les problèmes de qualité sont dus à une conjugaison de faible débit et hausse de la température entraînant des phénomènes d’eutrophisation (développement d’algues et de composés végétaux qui rendent le milieu moins habitable car moins oxygéné).

    Une projection sur la Drôme de -30% d’eau à horizon 2050

    On a fait tourner tous les modèles (ADRIS, Explore 2070) pour un exercice de projection à horizon 2050 avec les hypothèses du GIEC : Moins de neige sur les plateaux amène moins d’eau et printemps et donc le mois de juin va être encore plus critique avec la hausse des besoins due aux hausses de température. On parle de 30% d’eau en moins pour 2050. Comment continuer toutes les activités en lien avec la rivière ? Des actions de sobriété, des SFN (solutions fondées sur la nature), des mesures d’hydrologie régénérative… mais jusqu’où peut-on aller ? Le SMRD veut garder de l’eau dans la rivière.

    Stockage de l’eau : un gros mot ?

    Le SMRD dit qu’on va devoir envisager du stockage de l’eau. Pas des méga bassines (ça c’est un gros mot / pas le « stockage ») mais le stockage comme une solution transitoire pour aller vers de nouvelles pratiques avec une décision et une gestion démocratique. La CLE a déjà donné un avis positif pour du stockage d’eau pour une ferme en circuit court (Crest).

    Quelles actions / solutions ?

    On peut résumer les différentes propositions autour des actions de reconstruire une connaissance et une culture de l’eau, de retrouver un rapport sensible à l’eau et une gestion démocratique de cet enjeu vital. En d’autres termes se projeter en 2050 nous oblige à construire une gestion beaucoup plus collective de l’eau (pas seulement agricole) avec une rivière qui s’inscrit pleinement dans le projet de territoire.

    S’informer, diffuser l’information sur l’eau :

    . BD (bases de données) disponibles :

    Mesures quantitatives des débits dans la région Rhône-Alpes : HYDROREEL : http://www.rdbrmc.com/hydroreel2/index.php et la banque HYDRO au niveau national : https://hydro.eaufrance.fr

    Projections hydrologiques : BD DRIAS https://www.inrae.fr/actualites/lancement-du-portail-donnees-hydrologiques-drias-eau

    Mesures quantitatives et qualitatives des eaux souterraines : ADES : https://ades.eaufrance.fr

    . Utiliser une application pour alimenter les BD locales :

    Application Dryrivers pour déposer des données sur rivières asséchées à l’échelle d’un bassin versant vous permettra d’avoir mensuellement une carte de votre territoire et une vision précise au bout de quelques années : https://www.dryver.eu

    . Vidéos :

    EAU TV : une chaine YouTube pour acculturer les Elus sur l’eau et montrer des initiatives avec implication des citoyens : une vraie vitrine au service de la démocratisation de la gestion de l’eau.

    S’engager dans une démarche de certification par des Labels :

    . Label rivière sauvage : https://rivieres-sauvages.fr 

    . Label « rivière en bon état »  et sa charte.

    Valoriser les services éco-systémiques de la rivière ?

    La proposition d’évaluer les services rendus par la rivière pour en quelque sorte financiariser ses fonctions et pouvoir la prendre en compte est évoquée par Marie-Pierre Medouga. Thibault Datry est très sceptique et précise qu’après de nombreuses études, dès qu’on monétarise, c’est toujours l’agriculture qui gagne !

    Anne Le Strat, au contraire, cite pour cette approche de paiement des services environnementaux l’exemple d’une partie de la facture des usagers de la ville de Paris qui aide une centaine d’agriculteurs à passer en bio (alors que l’Etat a arrêté son soutien au bio).

    En ce qui concerne les solutions techniques qu’on met en place (même sous forme de « solutions fondées sur la nature »), attention vraiment à ce qu’on fait. Cela fait 15 ans environ que l’on défait des tas d’ouvrages pour que les rivières recirculent (on voit les problèmes que ça a pu occasionner dans le Nord avec les inondations). On vous conseille d’aller voir l’article sur notre réunion Codyter du 8/12/2023 pour plus de détails à ce sujet..

    Le vrai enjeu = celui d’une gestion DEMOCRATIQUE de l’eau

    Un participant regrette violemment que les citoyens ne soient pas suffisamment représentés justement à la CLE, que le SMRD ne communique pas massivement sur les réunions de la CLE et que certains élus du SMRD aient donné la gestion de l’eau dans leurs communes à Véolia. Il appelle à la création d’une coopérative citoyenne de l’eau où gouvernance et gestion de l’eau seraient réellement partagées.

    Anne Le Strat nous répète qu’on a un manque de connaissances sur l’eau en France et sur la situation actuelle gravissime.  C’est l’usager domestique qui paye l’essentiel de la politique de l’eau (1 € / M3 contre quelques centimes pour l’agriculteur et pour l’industriel) mais il est l’acteur qui a le moins le droit à la parole. On a en France une super « gouvernance de l’eau » mais les lobbies sont très présents et il faudrait réformer radicalement les institutions, peut-être créer de nouveaux lieux de dialogue territorial autour de l’eau car l’enjeu est véritablement DEMOCRATIQUE !

    L’Etat ne respecte pas la loi : le principe « pollueur-payeur » est inscrit dans la loi mais ne s’applique pas. On doit exiger des coûts de dépollution !

    Le dernier Plan EAU fait peser l’essentiel de l’effort contributif sur le citoyen et les collectivités locales. Les barèmes agricoles de l’eau ont détricoté les Assises de l’Eau ; on a fait un retour en arrière (dans les dernières décisions du gouvernement Borne) sur la redevance « pollution diffuse » et « prélèvement irrigation ». Ca ne répond aux demandes que d’une certaine agriculture ! => Il faut s’impliquer dans les institutions (= lieux de pouvoir), combattre toute forme de privatisation de la ressource et toute solution qui permet une offre additionnelle de la ressource doit passer par un débat ouvert avec l’ensemble des acteurs du territoire.

    Le SMRD confirme que des avis défavorables ont pu être donnés en 2022 pour la modulation de prélèvements d’eau dans la Drôme (1ers en 10 ans) mais pas suivis par la Préfète !

    Urgence à agir ENSEMBLE

    Un participant partage son angoisse sur la situation déjà gravissime. Oui, le SMRD est inquiet en cette fin janvier 2024 avec les « cadeaux possibles à un certain type d’agriculture »  alors que les prélèvements sont de 700 000 m3 supérieurs à ce qu’il devraient être. Les efforts doivent être portés par les agriculteurs mais aussi par nous tous et questionner réellement nos modes de vie ! Nous devons changer et nous pourrons le faire ENSEMBLE.

    C’est le moment d’une coopération active pour une gestion de l’eau comme un « bien commun ». Impliquez-vous sur l’eau !!

    Codyter rappelle que son action se concentre justement sur la mise en action ENSEMBLE des acteurs d’un territoire géo-morphologiquement cohérent (bassins versants). L’objectif est de permettre une appropriation commune par tous les acteurs (communes, citoyens et agriculteurs-éleveurs) des enjeux de l’eau pour pouvoir aborder les changements que chacun doit faire ENSEMBLE.

    Quelques autres interventions dans la salle (en vrac) :

    • Attention à ne pas aller toucher les réserves karstiques. Les associations vont y veiller (trop d’incertitudes sur les conséquences de leur prélèvement).
    • Un barrage de castor stocke sous la rivière et tout autour alors que les méga-bassines empêchent les nappes de se reconstituer. Cf conférence…
    • Oui, les industries qui s’installent sont soumises à autorisation (comme les eaux minérales)
    • Eaux minérales : Anne Le Strat a gagné un combat de 4 ans contre Cristalline qui dénigrait l’eau du robinet.
    • L’INRAE essaye effectivement de démocratiser les connaissances sur l’agriculture.
    • Les communes vont abandonner les compétences eau en 2026 au profit des communautés de communes. Ca vient surtout d’une volonté de regrouper car en France on a plus de 35 000 « services de l’eau ». A Die (Pascal Baudin, VP du SMRD en charge de cette question à la CCD, Communauté de Communes de Die s’excuse de n’avoir pu être là) et dans les communes de montagne, c’est grosso modo un hameau, un village, une ressource. Il s’agit d’abord de mieux connaître toutes ces sources.
    • => Vraie opportunité à saisir avec cette obligation de regroupement des services pour redéfinir le périmètre des compétences pour la gouvernance, le type de gestion (privée / publique) de l’eau ! Le débat est en cours en tout cas à la 3CPS.

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    Sam. 9/12 à partir de 17h : ateliers construction de 5 Nichoirs et 5 Mangeoires par des enfants (>10 ans)

    Samedi 9 décembre à 17h, salle communale de St-Julien-en-Quint  .Atelier Construction de Nichoirs et Mangeoires pour 10 enfants (ou familles) à partir de 10 ans    INSCRIVEZ-VOUS (contact@codyter.org) pour être sûr de pouvoir faire un objet (5 nichoirs et 5...